Mois : octobre 2014

Résumé du déplacement à Toulon

Samedi 5h05, le téléphone sonne le réveil.
Surtout, il faut éviter de trop surfer sur l’internet et se lever pour ne pas partir trop stressé. C’est bon aujourd’hui, je me force à être sérieux et à 7h quitte la voiture garée à la gare de Lyon.

Je retrouve les amis Titis, pars acheter le journal jaune (celui qui indique un  début de coupe du monde le 12 septembre 2015J) et l’Équipe puis nous nous dirigeons vers la voiture de notre train direction Toulon.

Au bonheur de certains intoxiqués, il y a des prises électriques pour recharger les téléphones, au grand désespoir d’autres intoxiqués, souvent les mêmes, il n y a pas d’arrêt avant Aix mais nous avons du jus d’orange pour passer le temps.


4 heures après nous voila à la gare de Toulon où 2 Titis en vacances nous attendent déjà. Nous mettons les valises en position roulettes et dévalons la ville direction Mayol et notre hôtel. J’essaye de larguer les voyageurs en tournant à gauche, à droite, à gauche, à droite,… mais rien y fait.

Nous arrivons en bas de l’escalator en panne, j’essaye de calmer les vannes qui fusent. Devant l’entrée, nous saluons  une partie du staff administratif du club que nous saluons, nous sommes dans le même hôtel qu’eux, jamais tranquille. Les chambres ne sont pas encore prêtes, nous déposons donc nos bagages et nous nous dirigeons vers le port à 50m pour manger.

Le patron du resto nous propose 6 casanis contre un drapeau du Stade. Damned, ils sont dans les bagages, nous les paierons donc.

Après le repas, hôtel  puis autobus pour les plages du Mourillon et notre 1ère baignade du séjour. Nous nous promettons de plonger dans le port à minuit en cas de victoire (puis en cas de victoire avec bonus).

Nous retournons vers Mayol et faisons une première halte au nouveau Cafoutche, le local des fadas. Celui-ci est superbe, il faut vraiment que l’on joue au loto pour pouvoir en louer un dans le 16ème.

Après s’être changé, les 3 mousquetaires et Milady reviennent chez les Fadas, prennent possession de leur bracelet d’invité et les discussions amicales commencent

jusqu’à une 1 heure du match où nous traversons le rond-point qui nous sépare du Stade et nous nous installons en Delangre au milieu des supporters de la rade. Nancy arrive pour prévenir nos voisins qu’ils n’ont pas le droit de  nous toucher.
Le match commence. Petit à petit, la peur envahit l’ensemble des tribunes ou chacun commence à appréhender le résultat final. Les Varois ont peur de la défaite et nous de devoir plonger dans le port.

Vous connaissez la fin, nos voisins nous préviennent qu’il est dangereux de plonger au milieu des bateaux et que des corps de Grenoblois, qui ont essayé en janvier, remontent encore à la surface. Pour une fois, nous les écoutons et décidons de remettre la baignade au lendemain. Donc, nous descendons en bas de la tribune pour être au plus près des joueurs durant le tour d’honneur

et allons à l’entrée de l’hôtel pour les accueillir et disons au revoir aux 2 titis qui remontent sur Paris dans la nuit.
Après cela, nous… [Ce qui se passe à Toulon reste à Toulon].

Au petit matin, une musique me réveille, je… [Ce qui se passe à Toulon reste à Toulon].
La matinée est réservée au petit déjeuner, à la baignade au Morillon et à un dernier jaune à l’hôtel où la serveuse nous permet de remplir des dossiers sur… [Ce qui se passe à Toulon reste à Toulon].

Enfin, c’est la gare de Toulon puis celle de Paris et la fin d’un beau déplacement.

Emmanuel