Résumé du déplacement à Grenoble

En ce samedi 12 janvier, nous avions rendez-vous devant Géo André afin de brûler un cierge et nous remémorer les dernières belles actions dans notre ancien Jean Bouin, qui, entre parenthèses, a bien évolué pour s’ouvrir à nous «nous l’espérons» début mai-juin 2013.

Pour en revenir à ce qui vous intéresse, le déplacement à Grenoble pour la 5ème journée de Amlin Cup, Saint-Albert des Mureaux nous attend devant notre carrosse, un spacieux J9 pour 6 personnes (Catherine, Fanfan, Manu, Jérôme, Albert et votre conteur).

Le départ matinal, vers 7h30, nous impose rapidement de nous arrêter vers 8h30 pour prendre le premier petit-déjeuner, chouquettes et «jus d’orange» afin de motiver les passagers pour soutenir le conducteur (qui lui ne boit pas !).

Second arrêt vers 10h45 pour le Ricard-croissant. Vivement la prochaine pause afin de discuter de nouveaux mets.

L’arrêt de 13h sur une aire d’autoroute nous a permis de montrer à plusieurs cars de personnes «d’un certain âge avancé» que nous savions recevoir. Divers breuvages, du vin (attention ! le vin rouge par -6 degrés, c’est pas top !), du poulet, des quiches, tartes, charcuterie, biscuits apéro, et dessert. Les deux choses les plus compliquées, lors de cet arrêt, furent le froid et le verre de Manu «à l’eau» car il devait prendre le relais du conducteur.

Après 6 heures de trajet, nous avons découvert notre hôtel bien situé, proche du centre ville de Grenoble,  et à 500 mètres du stade.

Après avoir reposé les organismes dans la chambre d’hôtel, devant un match, nous sommes partis visiter la ville pour repérer un restaurant pour le dîner. La réservation a été prise pour minuit.

Direction le stade de Grenoble, pour retrouver deux camarades supporters du Stade Français.

De l’extérieur, le stade est plutôt joli (ce n’est pas non plus le Millenium Stadium). Arrêt à la boutique pour certains et à la buvette pour certaines (pardon d’autres).

Notre tribune était clairsemée (2/3 vide comme le reste du stade). Pas de sièges mais un banc en bois.

Pas besoin de revenir sur le match «magnifique» de nos joueurs. Simplement, nous avons gagné le respect des supporters grenoblois d’être venus de Paris et surtout d’avoir chanté pendant 80 minutes et plus fort, certaines fois, que l’association présente dans notre tribune.

Sortie des joueurs sous la neige ; seulement deux trois mercis et sourires pour être venus.

Heureusement, le restaurant du soir nous a réchauffés le cœur, euh nos estomacs.

Le lendemain, certains Titis discutaient des matches de la veille avec des commentateurs de France Télévision qui séjournaient dans notre hôtel.

Le retour sur Paris se fit mi figue, mi raisin, d’un côté un super déplacement, mais aussi une énième défaite du Stade à l’extérieur.

Damien Marmott