Le brouillard castrais

9 février 2013

Partis sous la neige à 5 heures du matin, avec Super Manu et sa Manumobile, et la Marmott, nous arrivons à Lagardiole, chez nos cousins castrais vers 13 heures. La route fut difficile, ponctuée d’averses de neige, de brouillard… pas facile pour le conducteur.

Audrey nous prépare un déjeûner très sympathique que nous partageons en famille avant d’aller à Castres pour voir le match.

Décidément, nos déplacements de ce début d’année sont bien frileux ! Arrivés au Stade Pierre Antoine, nous dégustons un petit muscat pour nous réchauffer.

Arrêt à la boutique pour acheter quelques souvenirs du C.O.

Parlons du match : les 20 premières minutes sont plutôt bonnes, nos joueurs se défendent bien. Malheureusement, après un essai refusé pour notre équipe, les Castrais nous marquent un essai en contre, et nous perdons de 14 points à la mi-temps.

Nous profitons de la pause pour retrouver David, de Mont de Marsan, qui a fait le déplacement.

À la reprise, les Parisiens marquent un essai et on y croit ! Puis, rechute, une pluie d’essais de la part des Castrais, nous perdons le match sous la neige.

Nous retrouvons David et partageons de bons moments avec lui à la sortie des joueurs : photos, échanges avec Thomas Savare et Pierre Arnald.

Puis, il fait trop froid, nous partons en direction de Castres pour acheter des spécialités régionales : froid gras, terrines, … Arrêt chez le boucher qui est épaté de voir débarquer trois Parisiens qui viennent juste pour voir un match du Stade Français et nous félicite de venir d’aussi loin (il faut dire que pour lui, Montauban c’est le nord, alors Paris !). Nous achetons de la saucisse sèche et de la saucisse au roquefort pour l’apéritif.

Nous terminons cette journée par un bon repas en famille et au chaud, puis une nuit de sommeil bien méritée.

Après un petit-déjeuner composé de crêpes, café… Nous reprenons la route vers 11h30, ne sachant pas quelles conditions climatiques nous réserve la route du retour vers Paris.

Nous avons eu du soleil jusqu’en Corrèze, puis des trombes d’eau et du brouillard jusqu’à Paris.

Nous retiendrons de ce déplacement, l’accueil de nos cousins et les bonnes spécialités régionales du Sud-Ouest.

Catherine Ougen