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Les 10 ans des titis de l’Ovalie !

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Nous avons mis les petits plats dans les grands «On n’a pas tous les jours 10 ans !» et nous vous proposons une belle fête pour le dixième anniversaire des titis de l’Ovalie.

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Nous partagerons ensuite le méga gâteau d’anniversaire et danserons jusqu’à 3 heures du matin.

Grâce aux sponsors et à la participation de l’Association, nous avons calculé les prix au plus juste pour permettre au plus grand nombre d’être présent.
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Une tenue correcte est souhaitée (cela peut être un jean, une chemise et une veste !).

Nous vous attendons nombreux  et vous invitons à vous inscrire au plus vite en répondant par e-mail, au plus tard le 10 février 2017 à 22 heures, à receptions.titis@gmail.com

Juline, Élodie, Andrée, Cédric, Pascal et Fabien se joignent à moi pour vous souhaiter de très belles fêtes de fin d’année.

À très bientôt !

Bises.
Catherine Ougen

Présidente des titis de l’Ovalie

 

P.S. : le règlement doit se faire lors de votre inscription :

–  soit par chèque à l’ordre de : «Les titis de l’Ovalie»,

– ou virement bancaire (avec votre nom et  le motif de votre virement) : Les titis de l’Ovalie – Banque : BNPPARB PARVIS-DEFENSE

Code banque : 30004   —  Code guichet : 02532 —  N° Compte : 00010039175  — Clé RIB : 06

 

Les Titis chez les Pictes – du vendredi 9 décembre au dimanche 11 décembre 2016

La destination était particulièrement attractive : Edimbourg (à la française), Edinburgh (à l’anglaise) ou prononcer encore «Edime-bereu» (comme les locaux) en roulant les «r» à la manière de nos bourguignons hexagonaux, la capitale de l’Ecosse faisait miroiter tous ses atouts, touristiques et ovalistiques (un match à Murrayfield) pour tenter le Titi en attente de dépaysement d’une part, et d’une belle victoire outre Jean Bouin d’autre part.

Livres sterling en poche et équipés d’adaptateurs électrique en sus (il faut bien recharger les portables), chaudement vêtus mais affichant haut les couleurs du SF, les Titis voyageurs rejoignaient en deux vagues aéronautiques la capitale des porteurs de kilts.

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Prise de possession des chambres d’hôtels idéalement situées (proches du tramway, à une station du stade et ½ heure seulement de l’aéroport) à l’arrivée ponctuelle d’un vol sans souci, ne restait plus, en l’attente du grand soir dans l’arène du Scotland Rugby, qu’à se lancer à la découverte des richesses –nombreuses – de cette étonnante cité. Le propos ne consistant pas en la rédaction d’un guide touristique, il ressort toutefois des échanges avec les uns et les autres qu’ils ont particulièrement apprécié les visites : du Château d’Edimbourg qui domine la ville du haut de son promontoire de rochers noirs, du palace de Holyroodhouse (résidence officielle écossaise de la reine d’Angleterre) et, amarré à Leith, à trois kilomètres d’Edimbourg, du yacht royal Brittania, ex-résidence flottante de la famille royale d’Angleterre. Des visites à thèmes sont également à l’affiche : sortie nocturne spéciale fantômes sous les voûtes de pierre hantées de la vieille ville ou le scotch whisky expérience qui retrace la fabrication du whisky. Enfin, pour les moins enclins à déambuler dans les escaliers et les montées abruptes de la vieille ville, des circuits en bus à l’impériale sont proposés et permettent de découvrir sites et monuments, de descendre aux arrêts souhaités et de reprendre un bus lors d’un prochain passage. Enfin, le somptueux marché de Noël, à quelques pas des artères commerçantes, a permis de s’alléger de quelques pounds.

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On y circule comment à Edim-bereu ? Plutôt bien. Peu de voitures particulières, visiblement reléguées sur des parkings dédiés à la périphérie ; un tramway qui relie l’aéroport- à l’ouest-, transite par le centre-ville jusqu’à l’est, en liaison avec de nombreuses lignes de bus.

 

La durée de notre séjour ne permet pas de donner une note fiable à la gastronomie locale; les plus pragmatiques se contenteront d’avaler un plus que copieux et calorique scottish breakfast et qui permet, pour le bien du taux de cholesterol, de faire l’impasse sur le repas du midi. Les plus téméraires s’attaqueront au plat national, le haggis ou panse de brebis farcie, désormais déclinée en de multiples variantes.

Mais l’heure tourne et l’heure du kick-off approche. Le tram se teint de bleu et de rose et nous voilà installés dans le mythique Murrayfield stadium. Le résumé sportif sera court : les parisiens qui menaient 20 à 3 à la mi-temps se sont écroulés en seconde mi-temps pour perdre sur le score de 28 à 23 alors qu’Edimbourg jouait à 14 après l’expulsion de l’un des leurs. Cela poussait pourtant fort du côté du 16ème homme, on n’entendait que les chants des Parisiens.

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La soirée se terminera dans un pub, sorte d’institution nationale : 20 bières proposées à la pression et les frigos remplis de bières en bouteilles de toutes origines. A éviter pour qui privilégie les ambiances feutrées : plus le houblon descend et plus les voix montent ! Le vendredi soir semble constituer le moment fort de la vie nocturne et les pubs sont pleins à craquer, impossible d’espérer y manger quelque chose passé 19 h, la bière y règne en maître.

 

Déjà dimanche et le vol retour qui s’annonce. Le timing nous autorise une dernière visite, un ultime repas sur la place typique de Grassmarket (ancien lieu d’exécutions publiques) et nous sautons vite dans un taxi pour rejoindre l’hôtel récupérer les bagages, constater que le tram en direction de l’aéroport se remplit de nouveau de voyageurs portant casquettes, bonnets, écharpes et doudounes roses et bleus.

Un saut d’avion sous un ciel étoilé illuminé par la pleine lune en direction de Roissy Charles de Gaulle où les Titis se séparent… jusqu’à jeudi où nous nous retrouverons tous- ou presque- pour supporter notre SF à l’occasion du match retour.

Le mot de la fin pour remercier Cédric pour le temps consacré à organiser cette belle sortie… et puis, il n’a même pas fait froid !

Véronique et Philippe Charles

Week-end à Londres

Week-end à Londres

Il n’a manqué que la victoire !

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Cinq titis de l’ovalie au départ de l’Eurostar, en route pour l’aventure.

Le voyage -qui a commencé par la dégustation de pains au chocolat et un échange de vues sur le programme du week-end- se passe sans encombre.

Arrivés à Londres, nous nous dirigeons vers le métro pour nous rendre à l’hôtel.

Devant les distributeurs de tickets, les touristes sont nombreux mais les files d’attente s’écoulent facilement. Me retrouvant avec des billets qui ne correspondent pas à ce que je voulais, j’achète des cartes rechargeables et un préposé me propose le remboursement des billets. J’accepte, mais la transaction prend un certain temps et mes compagnons de voyage, qui ont déjà franchi les portillons, commencent à s’impatienter. Je finis par récupérer mon dû mais également un gage : rédiger le compte-rendu du voyage.

Nous arrivons à l’hôtel. Une seule chambre est disponible immédiatement. Nous y déposons nos bagages et partons déjeuner dans un pub où nous retrouvons un titi voyageur.

 

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Nous apprécions tous la cuisine anglaise de ce repas, accompagnée bien sûr de bonnes bières.

Quelques heures nous séparent du coup d’envoi du match et nous décidons d’aller visiter la Tour de Londres où nous passons un moment agréable et instructif.

Tower Bridge, Big Ben, Covent Garden Market, nous suivons notre guide et explorons tout ce que nous pouvons avant de prendre la direction de Twickenham Stoop.

Métro, train puis marche au milieu de supporters des Harlequins dont certains derrière nous entonnent même La Marseillaise.

Arrivés au stade nous regardons les joueurs de notre équipe à l’échauffement puis cherchons à nous restaurer quelque peu.

 

Inutile de commenter le match. Nous sommes venus pleins d’espoir et d’enthousiasme et nous allons repartir dépités.

À la fin du match, nous croisons Peter Lydon et discutons un moment avec lui.

Nous attendons ensuite les acteurs de cette défaite (quelques-uns nous ont salués à la fin du match) et nous passons un moment avec certains d’entre-eux. Après un passage par le pub du stade, nous envisageons de regagner l’hôtel, mais pas par les transports en commun. Nous rentrons donc en voiture et avons ainsi la possibilité de visiter Londres «by night» pendant une petite heure.

Le lendemain matin nous allons assister à la relève de la garde devant Buckingham Palace puis nous traversons Saint James Park où les nombreux et peu farouches écureuils nous retiennent un bon moment.

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Après avoir encore marché et empli nos yeux d’images inhabituelles, nous déjeunons dans une pizzeria pour reprendre des forces avant de reprendre notre marche (Nous avons parcouru 12 km et gravi l’équivalent de 29 étages le premier jour).

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Rencontre inattendue en allant vers Westminster Abbey

Piccadilly Circus, Trafalgar Square et enfin Soho où, après avoir sillonné ce quartier particulièrement animé, nous allons nous désaltérer dans un pub. En poursuivant notre promenade dans le quartier, nous apercevons une boutique de spécialités espagnoles. Là nous achetons un cornet de petites saucisses sèches et un dé dés de jambon que nous grignotons en marchant.

Après être repassés par Piccadilly, nous faisons une halte dans une boutique de sport puis partons en quête d’un restaurant qui sera finalement… une pizzeria.

Promenade digestive avant de rentrer à l’hôtel.

Nous consacrons notre dernière matinée à une expédition dans Camden Market, lieu très pittoresque, où nous effectuons quelques achats avant d’aller déjeuner dans un restaurant asiatique.

Nous reprenons donc le métro pour passer récupérer nos bagages à l’hôtel. La réceptionniste met pas mal de temps à les trouver et nous retarde.

Arrivés au métro, nouvel incident au portillon car une des cartes rechargées le matin est vide. Nous perdons encore du temps et le stress augmente. Il ne faudrait pas rater le train.

Finalement nous sommes arrivés à l’heure à la gare, mais à la douane le blouson de l’un d’entre nous est tombé sous le tapis roulant qu’il a fallu stopper pour récupérer le vêtement !

Dès l’affichage du quai de notre train nous sommes partis nous installer dans notre wagon et sommes rentrés à Paris sans problème.

Voilà encore un déplacement de challenge européen qui nous aura beaucoup apporté (merci Cédric pour l’organisation), mais nous laissera le regret d’un match perdu. «Mind the gap between the train and the platform» (attention à l’espace vide entre le train et le quai) nous répète-t-on dans le métro. Les joueurs auraient sans doute dû écouter ce conseil.

 

Martine le 16/10/2016